10 ans!
Bah mince alors… quoi, déjà?
J’ai commencé cette aventure, sans trop réfléchir ni imaginer ce que ça m’apporterait. J’avais 16 ans, j’allais passer mon Bac de Français.
10 ans et 4 déménagements plus tard, j’ai fait mes études, et ai bientôt terminé mon premier vrai job.
Grâce à ce blog ? J’ai traversé l’Atlantique toute seule à 17 ans, j’ai rencontré des gens formidables que j’ai toujours plaisir à voir, même si ce n’est plus très souvent, j’ai bravé les moustiques-zilla, et ai été envoutée par l’odeur du jasmin, aussi, plus récemment.
Etudiante? Je cuisinais toujours et parfois pour mes amis (forcément). Working girl, je cuisine toujours dans ma boîte à chaussure d’appartement parisien et parfois pour mes collègues (forcément).
Mais, ça ne vous vient pas sans surprise, mon blog n’était plus au centre de mes priorités. Avec toujours cette ligne sur ma liste des choses à faire “reprendre mon blog”. Un jour, peut-être. Peut-être pas. L’avenir le dira. J’ai juste décidé de ne plus me mettre cette pression.
J’ai envie de faire 1000 choses, d’en découvrir 1000 autres et d’apprendre à faire encore 10000000000 autres. Je (me) le dis officiellement : pas le temps pour bloguer. Si c’est pour cryptomonnaie investir raconter des banalités, des choses que vous lirez sur le reste de la toile ou vous raconter des détails de ma vie qui n’intéressent et ne regardent personne, ça ne me branche pas.
Les histoires de ces 10 dernières restent ici pour l’instant. Des fois que…
Aujourd’hui, je ne passe pas totalement du coq à l’âne, je n’abandonne pas complètement le train non plus. Je change juste de wagon, il parait qu’ils n’ont pas tout à fait la même destination.
Mes découvertes culinaires et autres, vous les retrouverez toujours, au jour le jour, plus spontanément sur Instagram. Et puis, vous pourrez toujours me lire ailleurs pour des aventures toujours trépidantes et gourmandes. Je vous tiendrai au courant sur Twitter pour qu’on se retrouve.
Merci d’ailleurs à mon complice culinaire… pour tout (et la liste est loooooooongue).
Ce n’est qu’un au revoir, comme dit le tube de l’été 1627.
Et puis, on se retrouve très vite ailleurs!
Merci d'avoir été là ces 10 dernières années (et non, je n'en reviens toujours pas !).